Quel travail!

Le succès concret de la vente de mon livre pendant le salon m’a confortée dans l’idée qu’il pouvait être « le » roman de l’Eté.  Je ne baisse pas les bras et me tue à la tâche, pour qu'il le devienne.

J’use de toutes les astuces et les réseaux sociaux pour me tisser une toile de libraires.
Cela me prend plusieurs heures par jour. Je travaille aussi les nuits. Un travail de fourmis. 
Je récupère sur certains sites de maison d’édition la liste et contacts de leurs librairies.  
En solo, c’est sur Facebook et Viadeo que je deviens leur amie. 
Je présente le livre, échange des emails avec eux. 
Très sympas ces libraires. Certains me proposent de dédicacer chez eux.
J’en serais ravie mais pour l’instant ma priorité est ma mise en place Nationale, les dédicaces viendront suivront. Ne perdons pas mon objectif.

Je relance les agents commerciaux. Je quadrille la France. J’ai des touches sérieuses.  
On discute contrat, remise, livraisons et…retours. Oooops ! Je n’y avais pas pensé.
Mes différents distributeurs assurent les envois mais qu’en est-il de mes "retours" ?
La difficulté de ces fameux " retours" est un point si important et sensible, que je prendrai le temps de vous le développer. 

Mon commercial démarchera donc les librairies et les grandes surfaces, la commande passée mon distributeur livrera le client et moi je facturerai : Au secours !
Qui aurait cru qu’en faisant un bac littéraire je serai aussi comptable.