samedi 17 mars 2012

Vendredi : Premier jour de « mon » salon

Je me réveille avec des yeux de hiboux et ne suis pas vraiment dans mon assiette.
Première heure : J’écris un email à l’organisation du salon : Pourquoi ne suis-je pas dans la liste des exposants ?  
Est-ce de ma faute, de la leur ? 

J’arrive sur mon stand, salue mes voisins et la première chose que je découvre, ce sont deux de mes affiches déchirées posées en évidence sur ma table. Vlan. Prends ça dans les dents. C’est violent ! Qui a fait ça ? (Les affiches proviennent du poteau accordé par mon voisin Joseph Joffo).
N’aurait-ce pas été plus simple de me dire que ces affiches dérangeaient ? Et quand bien même pourquoi les avoir déchirées ?  Cela dénote de l’état d’esprit et du peu de générosité de cette personne. Ma journée commence bien ! Je me sens si seule.
Un voisin vient s’excuser de son comportement de la veille : J’apprécie. Il ne comprend pas son emportement et met cela sur le compte de la fatigue.
Je suis toute cabossée et n’ai plus la foi pour me vendre. C’est embêtant, moi qui souhaitais consacrer ma journée à ça. Je suis au ralentie.

En bon petit soldat, volontaire, bien que le cœur n’y est pas, je finis par aller à la pêche aux rendez-vous. Rien de concluant mais des touches intéressantes.
Je n’étais pas souvent sur le stand ce qui explique pourquoi je n’ai pas atteint mes objectifs commerciaux : 13 livres vendus. Aujourd'hui Samedi, je serai beaucoup plus présente.
PS : J’ai appris qui était la personne qui avait déchiré mes affiches. Une éditrice de mon collectif qui les trouvait trop proche de sa table… Que dois-je faire? Dois-je lui fais une remarque gentille, mais bien sentie ou j’attends la fin, lorsque nous nous quitterons, pour la remercier de sa convivialité ? ;-). J’hésite mais ça me démange. Je cours au salon...

NB : J’ai eu la joie de rencontrer deux Hellocotonneuses... Merci pour votre soutien ;-).

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