vendredi 25 novembre 2011

Relevée, l'aventure continue....

Voilà peu de temps que je remets mon pied à l’étrier.

La chute subit m’a affaiblie et démotivée. 

La faiblesse de l’auto-édition est la solitude.
Sans la présence à ses côtés d’un coach, d’un "Jiminy Cricket" ou d’une "bonne fée" on perd vite confiance en soi et en son roman.
Pour s’auto-éditer sérieusement, il faudrait s’éviter tout soucis personnels, se couper du monde et s’isoler pour que ni l’affect, ni la santé, ni le moral ne soit touché.  
Ce qui est peu compatible avec notre vie quotidienne.
Cette aventure serait-elle donc impossible ?

2 commentaires:

  1. Question que je me pose aussi... Pas impossible, mais :
    Mes deux premières pistes : avoir un entourage proche qui peut alléger le quotidien (et interdire tout coup dur à venir- gloups, ce n'est pas toujours qui nous décidons) et nous soutenir + avoir un réseau suffisant qui saura nous "vendre", plus encore lorsque nous saturons...

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  2. Idéalement, ce serait top d'avoir ce soutien et ce réseau dont tu parles, car quand tu satures, tu es vraiment seule.
    En ce qui me concerne ;
    - côté "moyen" : j'ai mis de l'argent de côté pour tenter cette aventure. ca fait mal, car je dépense plus que ce que j'encaisse.
    - Côté "temps" : J'ai fait une pause dans mon boulot pour vivre cette aventure.
    - Côté "soutien" : Je n'en ai pas beaucoup, car mon entourage ne comprends pas mes motivations à suivre une aventure aussi folle. C'est la première fois que je vois un avantage à n'avoir ni enfant, ni mari, ni animaux de compagnie ;-)
    - Côté "réseau" : Je pensais en avoir un bon, mais entre "avoir" et "pouvoir compter sur eux", il y a un vide. On ne peut compter sur personne. De plus, je découvre qu'il est suspect de se vendre soi-même, même en étant une professionnelle de la com.
    Conclusion, je me suis trouvée des agents...J'expliquerai ça plus tard, car je suis en plein "recrutement". A bientôt.

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